La SNCB propose actuellement 765 places de parking auxquelles viennent s’ajouter les 156 places supplémentaires situées à la Maison de la Culture. 

Bien que situé à 10 minutes de la gare, ce second parking semble être boudé par les navetteurs. Au grand dam des riverains, certains préfèrent se garer à la rue du Gazomètre située, elle aussi, à 10 minutes des quais.

Le premier parking est quant à lui toujours complet.

Mais comment se fait-il que chaque nuit, une petite centaine de voiture, y dorment paisiblement ?
Des voitures ventouses dans un parking privé de la SNCB… ?
Mais comment est-ce possible ?

L’explication serait toute simple. Le propriétaire d’un véhicule qui possède un abonnement train préfère laisser sa voiture dans un parking sécurisé plutôt que le long de la route ou dans un autre parking lointain – même quand il ne prend pas le train.

Ces propriétaires habitent très certainement dans un rayon maximum de 500 mètres à un kilomètre de la gare

Serait-ce l’argument de plus à donner à la SNCB pour l’inciter… à ne pas agrandir ce parking ?